Mon parcours

Je suis née le 13 mai 1972 à Bruxelles. Mais après le divorce assez douloureux de mes parents, c’est dans la région verviétoise (Province de Liège en Belgique) que j’ai grandi avec ma mère, mon frère et ma sœur

où la vie a été assez compliquée.

A 18 ans, j’ai dû choisir l’orientation de mes études. Ce fut le blanc total. C’est donc la raison qui m’a poussé à choisir un graduat en secrétariat de Direction à Liège, un diplôme qui me permettrait de travailler dans n’importe quel domaine et donc d’augmenter mes chances de trouver un emploi.

L’absence de mon père dans mon enfance m’a donné une certaine insécurité que j’ai essayé de combler

en trouvant un travail sécurisant.

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A la fin de mes études, j’ai suivi mon fiancé qui travaillait au Luxembourg et c’est tout naturellement que nous nous y sommes installés et que j’ai travaillé dans une banque. J’y suis restée pendant 23 ans. Et là j’ai découvert un autre monde. A ma grande surprise, j’ai adoré mon travail, pas toujours facile et très exigeant, mais il y avait de la solidarité et de l’adrénaline.

J’ai appris énormément, non seulement au niveau de mes connaissances, mais également au niveau humain: apprendre à m’affirmer par exemple, tout en gardant mes valeurs que je ne voulais absolument pas abandonner.

Je me plaisais et je gagnais bien ma vie, mais en même temps, il me manquait quelque chose. J’ai toujours su que j’étais faite pour autre chose, mais je ne savais pas quoi.

Il m’a fallu connaître un burn-out et plusieurs difficultés pour comprendre réellement que ma place n’était plus là. Merci la Vie ! Sans ce coup de pouce, j’y serais encore et je ne ressentirais pas cette magnifique joie de

faire le métier qui me passionne aujourd’hui et qui m’apporte tellement.

Quand j’ai eu mon burn-out, une évidence s’est présentée à moi: je ne veux plus y retourner! J’avais aussi ce besoin de faire quelque chose pour les autres et qui m’enrichit personnellement. Mais quoi ? Je me suis donc lancée dans

le bénévolat, à donner à manger aux patients à l’hôpital et puis je suis devenue secouriste à la Croix Rouge. Au même moment, j'ai quitté mon compagnon de l'époque. J'avais une maison à payer, une fille à  nourrir et j'ai dû faire face à mes peurs financières, mais je sentais au plus profond de moi que je ne pouvais pas faire autrement, que c'était ce qui était juste pour moi. La Vie m'avait poussé dans cette direction là, elle ne pouvait pas  m'abandonner maintenant! Donc j'avais la foi qu'Elle allait m'apporter tout ce dont j'ai besoin et c'est ce qu'elle a fait. J'ai travaillé sur mes peurs, les mémoires, mes croyances limitantes, ... et, alors que beaucoup m'ont dit que je ne m'en sortirais jamais, plusieurs années après, je suis toujours là et tout va bien.

En parallèle, depuis des années, je me suis intéressée au développement personnel, je lisais énormément sur le sujet et j’ai suivi des stages.

Des problèmes de santé, un divorce puis un grave accident de voiture m’ont poussé à trouver d’autres voies de guérison. Je ne trouvais pas de réponse dans la médecine à ce moment là, et il m'était impensable de m’avouer vaincue et de rester sans rien faire face à tous mes problèmes physiques qui me rendaient très malheureuse et fort diminuée. Pour moi, la vie, ce n’est pas ça, et je me battrais jusqu’au bout, pas question d’abandonner.

Je me suis donc tournée vers les médecines dites parallèles et enfin chez des énergéticiens. Et les résultats ont commencé à se faire sentir. Après j'ai eu la chance d'avoir été opérée par un excellent chirurgien qui s'occupe des causes perdues. Il m'a sauvé la vie, mais la médecine a ses limites. Animée d’espoir et de courage, je continue dans cette voie énergétique et je cherche encore tous les jours des nouvelles façons d'avancer et donc par conséquent de faire avancer les personnes que j’accompagne.

Car c’est ce qui m’anime tous les jours : améliorer mon quotidien et celui des autres.

Voir les personnes que j’accompagne évoluer et se sentir mieux, voir leur vie changer de séance en séance, de mois en mois, me motive à continuer et à faire toujours de mon mieux pour les soulager ou les mettre sur le chemin de leur âme. Et je me dis tous les jours que je fais un métier formidable entourée de personnes formidables !

Mon plus grand rêve ? Reconnecter chaque personne qui vient me voir à son cœur, à son âme, en accueillant, en libérant ses blessures et ses peurs; l’Amour est à l’opposé de la peur. Les conflits sont dirigés par la peur.

Imaginez un monde où chacun est relié à son cœur...

Tout comme dans la légende du colibri, c’est la part que je propose de réaliser.

Anne-Françoise

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